Vous me connaissez mieux sans doute sous le nom d’Akhena. Depuis maintenant plus de 25 ans, je travaille sur la sortie du corps, j’ai écrit deux ouvrages sur ce sujet et anime régulièrement des stages d’apprentissage. Mais aujourd’hui, je viens vous parler de la grande passion de ma vie : l’écriture. Je vous présente mon roman Et si nous étions libres publié le 8 juin 2015 sous mon nom de naissance, Annick Cherville.
« J’écrirai ma passion de la vie et ma fascination de la mort. Je ferai vivre dans mes mots, les hommes, les chats, les cités, les cigales de la colline.
Je raconterai les aubes douloureuses, la mort violente, toujours, et l’injustice de la jeunesse arrachée. J’écrirai le nom de Sourayan, et quand je n’existerai plus, le nom de Sourayan ne sera pas oublié, il nourrira encore le rêve des hommes et des femmes qui le liront. J’écrirai parce que je veux laisser l’empreinte de mes yeux, l’empreinte de mon coeur sur le monde. »
- “Et si nous étions libres” est une invitation au voyage… à tous les voyages.
La narratrice, Catherine, a 15 ans en 1968 et tracera sa route, passionnée et solitaire, jusqu’en 2011… Elle vit intensément ces années où Jim Morrison chantait : « Nous voulons le monde et nous le voulons maintenant ». Au rythme des chansons des seventies, Catherine brûle sa vie à Alexandrie, au Caire, au bord de la mer Rouge ou bien encore à Los Angeles, à Paris, à Venise, en Grèce, en Provence ou sur les îles du Frioul.
Ses amours peu communes, celles que l’on n’ose pas vivre d’habitude tant les conventions sociales, morales, religieuses tissent de solides prisons, vous entraineront dans leurs dédales parfois tragiques.
Peut-être allez-vous entrevoir avec Catherine où réside notre ultime liberté ?
Les grands thèmes évoqués sont aussi l’écoulement du temps, l’inéluctable et terrible vieillissement et puis la fin obligatoire : la mort.
Des faits « paranormaux » marquent de leurs sceaux étranges la vie de Catherine et de ses amis, rêves, sorties du corps, apparitions de décédés…
Tous les personnages (ou presque) de ce roman font le choix de leur mort.
Choisir sa mort, c’est la liberté suprême.
D’où l’omniprésence du suicide comme éventualité possible. Et question corollaire et combien importante : y a-t-il une autre vie après la mort ? Ce roman, d’écriture classique, est avant tout une histoire avec des personnages, des aventures, des voyages, des amours et des drames, le tout tiré de mon imagination… sauf les faits paranormaux tirés de mon vécu et qui, eux, sont tout à fait réels !
“Et si nous étions libres” Le Courrier du Livre 22 € en vente dans toutes les librairies et sur Internet, Amazon.fr, Fnac, Cultura, etc.
www.etsinousetionslibres.com
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